Ce trait subtilement romanesque est le reflet d'une remarquable unité harmonique, maintenue d'un bout à l'autre du film. Louis Guichard – Télérama – mai 2008
Aditya Assarat démontre un réel talent. On pense à cette musique suave et planante que les anglo-saxons nomment easy-listening. [Wonderful Town est] un hommage discret au huit milles victimes du tsunami qui a ravagé la ville de Takua Pa. Jacques Mandelbaum – Le Monde – 7 mai 2008
Un réalisateur vient de pousser sous nos yeux et c'est une chose rare. (...) Improbable, inattendue. Mais durable (...) Belle rencontre. Philippe Azoury – Libération – 7 mai 2008